« Je suis la résurrection et la vie »
Jésus lui dit : « Moi, je suis la résurrection et la vie. Celui qui croit en moi, même s’il meurt, vivra. » (Jn 11,25)
Jésus lui dit : « Moi, je suis la résurrection et la vie. Celui qui croit en moi, même s’il meurt, vivra. » (Jn 11,25)
« C’est à nous qu’il appartient, en pleine responsabilité, de prendre les décisions qui conviennent pour l’avènement d’un monde plus humain, mais le Christ est présent dans chacune de ces décisions humanisantes pour leur donner une dimension divine. Le Christ est présent et actif pour diviniser ce que nous humanisons. » (François Varillon)
Ceux qui nous précèdent nous aident à cheminer dans la foi pour aller à notre tour, fortifiés par l’espérance, au-devant de la Résurrection qui nous attend.
La foi dans la résurrection… une décision de tous les instants, un engagement à vivre d’une vie toujours nouvelle. (Joseph Moingt)
Le Christ ressuscité n’est pas d’abord un symbole, une valeur, une idée; c’est quelqu’un. Quelqu’un de réel, que tu peux rencontrer, qui peut changer ta vie, parce qu’il se dresse depuis le matin de Pâques à l’aplomb de l’histoire et du temps. (Frère Sylvain Detoc, o.p.)
Un chrétien, une chrétienne ne prépare pas sa mort, mais sa résurrection. Nous ne sommes pas seulement mortels, mais éternels. (Jacques Gauthier)
Le peintre français Maurice Denis né en 1870 et mort en 1943 a été l’un des artisans du renouveau de l’art sacré en France. Décorateur, graveur, théoricien et historien de l’art il a été pendant quelques années un compagnon de Paul Gauguin. En 1890 il a peint un Christ appelé le « Christ vert ». S’y attarder permet d’entrer dans l’univers d’une couleur qui a laissé son nom à une longue suite de dimanches : les dimanches en vert. Ces jours-là, les vêtements de présidence à l’eucharistie sont verts. Mais pourquoi?
La liberté ne sera parfaite que dans la plénitude du Royaume. L’Esprit du Ressuscité est dynamisme de liberté, de résurrection et du Royaume à venir.
On commence toujours, on n’est jamais lié par un passé, on est dans un présent éternel, on peut toujours commencer.