Bible
Belle est la Parole…
Il est des temps et des lieux où il n’est pas toujours possible de se nourrir de l’eucharistie. L’occasion est belle alors de redécouvrir la Parole de Dieu, lue, proclamée, méditée, d’en faire sa nourriture et de se mettre à l’écoute de CELUI qui parle.
Pour que nous demeurions vraiment libres
Dans la lettre aux Galates, Paul oppose la liberté évangélique aux différents esclavages du temps, et il va de soi que cet appel à la liberté de l’apôtre retentit jusqu’à nous aujourd’hui même. La liberté entre dans l’intention même du Salut. Elle est à la fois « don et choix ».
Le fondement de la liberté chrétienne
Le chrétien est donc libre parce qu’il agit sous l’impulsion d’un dynamisme intérieur qui n’est nul autre que l’Esprit même du Christ en lui. L’Esprit libère le croyant de toute crainte en face de Dieu à qui on peut maintenant donner en toute confiance le titre de Père.
Comme un appel à la seule vraie liberté
Quel paradoxe de penser que certains chrétiens abandonnent aujourd’hui la religion chrétienne au nom de la liberté et de la libération, alors qu’au temps de Paul, on adhérait au christianisme pour atteindre à une plus grande libération!
L’œuvre de Dieu : croire
L’œuvre de Dieu – croire en celui qu’il a envoyé – c’est permettre au Ressuscité de transfigurer son quotidien. C’est permettre à Celui qui est la Vie de tout envahir.
S’unir à Dieu pour faire reculer le mal
La prière a un sens vital, créateur et libérateur. Elle permet d’établir le règne du bien par l’union avec Dieu. Maurice Zundel n’hésite pas à voir en elle l’antidote suprême au mal dans le monde.
Quand “faire un gâteau en tasse” devient une occasion pour parler de la bible
Avec un grain de créativité, il est possible d’amener des adolescents à parler de sujets qui les touchent, et ce, tout en éclairant leur questionnement à l’aide de récits bibliques.
Les cieux s’ouvrirent …
Le folklore qui entoure la fête de Noël n’est pas sans charme. De même les célébrations liturgiques où l’on chante « l’heure solennelle » et « le divin enfant » tout en évoquant le son des « musettes qui résonnent ». Étrangement la fête de la naissance se termine de manière abrupte avec le récit du baptême de Jésus, trente ans plus tard. Si la magie n’est plus là, les questions demeurent.
Un exercice de mémoire
Cette réflexion accompagne et présente la liturgie de la parole proposée pendant le Carême de l’année C. Parce qu’il y en a deux autres, le A et le B tout simplement parce que la liturgie des dimanches propose des pages d’Évangile réparties sur trois ans. Durant une année, la parole est alors laissée à Matthieu (année A), à Marc (année B) puis à Luc (année C). Quant à Jean on le retrouve lors des grandes fêtes. Des pages tirées du Premier Testament et entre autres, des Lettres de Paul complètent le tout. Cette année, Luc est au programme. Voilà pour la technique. Le présent article offre pour sa part un fil conducteur pour en faciliter la lecture.