La bible : pays de violence ?
Premier d’une série de 4 articles publiés dans l’édition nationale du Feuillet Paroissial sur le thème « Bible et violence ».
Un premier constat s’impose : il y a présence de violence dans la Bible. La Bible parle d’êtres humains tout comme nous, des êtres qui ont précisément besoin d’êtres sauvés de leur violence.
Bible et culture populaire
Ghislaine Salvail, bibliste québécoise, s’est amusé à retrouver dans la culture populaire, dictons, expressions ou proverbes et même chansons venus tout droit de la Bible. Elle nous partage quelques-unes de ses trouvailles.
Esclavage et libération selon saint Paul
L’Apôtre Paul s’est employé à présenter le christianisme comme le lieu privilégié de la libération, tant pour les individus que pour l’humanité dans son ensemble.
Évangile : « manuel » de vie chrétienne
Les quatre évangélistes : « manuels » de catéchèse au service de la maturité de la foi. Vers une familiarité toujours plus grande avec les Saintes Écritures lues et priées en groupes et en communautés.
Avenir et espérance chrétienne
Optimiste? Réaliste? Pessimiste? Le regard de l’Évangile est plutôt traversé par un fort courant d’espérance dans le Royaume de Dieu en germe dans notre monde.
Dieu nous parle ?
Un ouvrage présentant une démarche qui à travers le langage symbolique, favorise une compréhension expérientielle de la Bible.
Prière d’un pèlerin
Dieu, invisible pèlerin de l’aventure humaine et secrète présence à l’histoire de chacun, compagnon fidèle des sentiers où nous cheminons, souvent obscurément. Mets en nous le souffle nécessaire pour prendre ou reprendre la route (…).
Beauté tout ancienne et toute nouvelle
Bien tard je t’ai aimée, Beauté tout ancienne et toute nouvelle. Tu étais au-dedans de moi et je te cherchais au-dehors (…).
La messe et puis après…
Dixième d’une série de dix articles sous la forme d’un petit voyage dans l’univers de la messe. En se laissant guider par des questions souvent posées, l’auteur propose un survol de cet incontournable de la pratique chrétienne.
En guise de conclusion, l’auteur nous rappelle qu’une célébration eucharistique n’est jamais terminée.