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L’apôtre Paul, athlète de Jésus Christ
Certes, la rencontre toute gratuite du Ressuscité sur le chemin de Damas a été un moment décisif dans la vie de Paul. Seulement, cet événement capital demandait à être cultivé et entretenu, car rien n’est automatique dans la vie de foi. À l’instar d’un athlète, l’apôtre Paul savait mettre en pratique quelques incontournables afin de garder allumé le feu qui l’habitait. Quels sont-ils?
De Saul à Paul
Sur le chemin de Damas, Paul est renversé quand il découvre qu’il a été aimé gratuitement au point tel que quelqu’un ait donné sa vie pour lui. Cette révélation désarmera le persécuteur qu’il était. De plus, réfléchissant à son ancienne vie de pharisien zélé, Paul constate que la loi, à elle seule, est incapable de changer le cœur des hommes. Le nouveau sens à la vie de Paul sera de vivre en communion avec le Ressuscité, le « Juste par excellence ».
Un Amour inconditionnel au cœur de mon être
La parabole du « retour de l’enfant prodigue » nous concerne tous : le chemin obligé vers le fondement de notre valeur est le même que le fils cadet de la parabole. Au-delà de nos relations interpersonnelles, aussi belles et riches soient-elles, notre cœur assoiffé d’amour, de liberté et d’estime personnelle aspire à la rencontre du Dieu-Père au cœur de notre être.
Comment peut-on être catholique?
Denis Moreau, philosophe et professeur à l’université d’état de Nantes, a publié un livre décapant dans lequel, comme pour répondre à l’invitation de l’apôtre Pierre : « Soyez prêts à tout moment à présenter une défense devant quiconque vous demande de rendre raison de l’espérance qui est en vous; mais faites-le avec douceur et respect. » (1 P 3,15-16)
Mais il fait plus. Ne refusant aucune question, il aborde avec franchise les grands débats de l’heure. Du coup, par ses réponses il réhabilite l’option chrétienne comme vision du monde, car comme il le dit lui-même, avec le ton qui le caractérise : « On peut être catholique sans être stupide. »
La pensée de Maurice Zundel
Texte de Gilbert Assemat, diocèse d’Albi. Être disciple de Jésus, c’est vouloir, avec lui, convertir notre regard et notre cœur par passer …
Quand l’Église se retrouve à l’église – V
Cinquième d’une série de cinq, celle capsule invite à porter un regard neuf sur l’espace intérieur de nos églises. Cet espace s’est modifié avec les siècles. Son aménagement intérieur a évolué en fonction de la compréhension des mystères qui s’y célèbrent. Si nos lieux de cultes se sont transformés même dans un passé récent, ils peuvent encore être appelés à le faire.
Quand l’Église se retrouve à l’église – IV
Quatrième d’une série de cinq, cette capsule parle de l’autel, de l’ambon et du siège présidentiel. Si chacun de ces meubles a une fonction propre, ils ont aussi une portée symbolique qui donne déjà de mieux comprendre l’eucharistie dans son rapport avec le mystère et avec l’assemblée à qui elle est destinée.
Quand l’Église se retrouve à l’église – III
Troisième d’une série de cinq, cette capsule brosse un tableau de la transformation des lieux de culte à travers les siècles, ce qui ne fut pas sans influencer la pratique de l’eucharistie.
Quand l’Église se retrouve à l’église – II
Deuxième d’une série de cinq, cette capsule propose une clé de lecture pour comprendre l’eucharistie, celle du retour aux origines, alors que les premiers chrétiens fidèles à participer au repas du Seigneur et à la fraction du pain se retrouvent autour d’une table familiale. Par ailleurs assez rapidement il faudra songer à créer des espaces propres au culte.