Au service de la formation
à la vie chrétienne
La vie n’a d’autre objet…
Dieu ne peut régner en nous sans nous, car Dieu est Amour, et l’Amour ne peut être reçu que par l’Amour.
Tout commence par le baptême
L’Esprit peut rendre possible toutes les audaces car c’est lui qui appelle et permet de devenir de véritables disciples, des disciples-missionnaires. C’est ce même Esprit qui invite à oser. Quelque chose de neuf, d’inattendu est là devant nous. Alors plongeons vers l’inconnu tout en s’accordant le droit à l’erreur et de pouvoir recommencer.
A-t-on vraiment besoin de moi?
Nos familles, notre communauté paroissiale, notre circonscription municipale, notre comté, notre nation, la planète, partout on a besoin d’un levain dans la pâte. Et d’être ce levain c’est la vocation première des disciples-missionnaires que sont les baptisés.
Être une preuve
Il s’agit surtout de faire la jonction avec ce que je suis et ce qu’implique cette vie nouvelle, promesse pour demain certes, mais aussi et surtout réalité pour aujourd’hui. Or il n’y a que nous qui puissions le faire.
La résurrection
C’est cette communauté des origines, cette première communauté missionnaire vivant du Christ ressuscité qui à travers les siècles les communautés de croyants et de croyantes. Les nôtres en sont le fruit.
Paul le médaillé olympique
Parmi les marathoniens de la résurrection, il y a un qui mérite sans doute la médaille d’or, c’est saint Paul. S’y référer est majeur parce qu’il ose poser en toute vérité la question même du fondement de la mission à savoir l’annonce de la résurrection du Christ.
Le marathon pascal
Ce qui les fait courir c’est la résurrection du Christ. Et la course ne s’arrêtera pas, elle deviendra même contagieuse.
Apprendre à cheminer
Une véritable conversion se fait lentement, sans précipitation. Il faut qu’à la fois, le cœur et l’intelligence comprennent. La foi qui est nôtre nous l’avons reçu en héritage. À travers une longue chaîne de témoins, elle s’est transmise de génération en génération jusqu’à nous.
Dire la résurrection
Ce n’est plus la Mort obéissant aux injonctions de la Vie, mais la Mort qui meurt de l’envahissement de la Vie. La Résurrection naît et éclate de l’intérieur même de la mort, elle ne lui commande plus : tout simplement, elle la nie.