L’amour bienveillant
Seigneur, nous te rendons grâce pour tous ceux que tu mets sur notre route et qui, grâce à la tendresse de leur regard, à la prévenance de leurs gestes […], croient encore en nous. (Pierre Prud’homme)
Seigneur, nous te rendons grâce pour tous ceux que tu mets sur notre route et qui, grâce à la tendresse de leur regard, à la prévenance de leurs gestes […], croient encore en nous. (Pierre Prud’homme)
Dieu, de tous les commencements, Toi qui es bonté, Justice et Amour, tu nous manifestes ta tendresse de toute éternité. Nous te rendons grâce pour ta présence dans nos vies et dans notre communauté viatorienne. (Nestor Fils-Aimé, c.s.v.)
Rien ne serait plus merveilleux que de rendre heureux ceux qui nous entourent et de passer notre existence terrestre autant qu’elle doit durer, de la passer justement à être dans la vie des autres le sourire de la Présence et de la tendresse divines. (Maurice Zundel)
Le peintre français Arcabas (Jean-Marie Pirot 1926-2018) a consacré son œuvre à la peinture religieuse inspirée des Écritures devenues sa manne quotidienne. Mais il n’a pas oublié pour autant le chemin qu’il a parcouru. Il s’en était ouvert au journaliste Bertrand Révillion.
On te croit ennemi de la joie : tu en es la source. On t’imagine rancunier : tu pardonnes comme nous respirons. On te croit figé comme un monarque : tu es ardent comme un berger. (…) (Stan Rougier)
Nous sommes appelés à une forme de paternité et de maternité à l’image de Dieu où les petits gestes peuvent faire toute la différence, dans notre vie comme celle des autres.
En compagnie de saint Joseph et du Frère André, une méditation qui nous révèle les multiples facettes du visage de Dieu.
« Au cours de notre pèlerinage, nous apprendrons qu’il est lui-même Beauté, Joie, Tendresse, Miséricorde, Silence, Fidélité, Espérance, Amour et Vie. » (René Pageau)
En retraçant l’histoire biblique de saint Joseph et l’histoire fascinante de saint Frère André, simple et humble frère convers, nous sommes invités, à leur suite, à relire notre histoire dans la grande histoire de l’Église.
Ce n’est pas ravaler Dieu que de lui prêter un visage de Mère, c’est simplement accepter en toute sa plénitude cette révélation vivante qui est la personne même de la Vierge : comme le sacrement de la tendresse maternelle de Dieu.
Ô petit frère, divinement pauvre, apprends-moi à regarder toute chose avec la passion et la tendresse que Dieu met à la créer.