Tout était pour la charité
Je m’y sentais fortitiée parce que tout était pour la charité et non pour mon profit particulier. (Sainte Marie de l’Incarnation)
Je m’y sentais fortitiée parce que tout était pour la charité et non pour mon profit particulier. (Sainte Marie de l’Incarnation)
Il y a la prière sur les autres qui est indispensable à l’éclosion de la charité, car Dieu sait que nous sommes différents les uns des autres et, limités tous comme nous le sommes, il est inévitable que nos limites se heurtent réciproquement. (Maurice Zundel)
5e article d’une série de 8 sur les principales convictions et les étapes de la conversion selon l’itinéraire zundédien.
Ce qui demeure aujourd’hui, c’est la foi, l’espérance et la charité; mais la plus grande des trois, c’est la charité. (Saint Paul)
« La vie pour Madeleine est faite pour foncer, pour prendre des risques, pour donner. Si on la garde pour soi, on l’étouffe. La vie est calamiteuse si on la garde pour soi, mais splendide si on la donne. »
Le chrétien a absolument besoin du dynamisme de l’Esprit du Ressuscité afin de vivre sa vocation à la liberté qui ne peut s’exercer valablement que dans et par l’amour.
La prière a un sens vital, créateur et libérateur. Elle permet d’établir le règne du bien par l’union avec Dieu. Maurice Zundel n’hésite pas à voir en elle l’antidote suprême au mal dans le monde.
Suivre la loi de son être intérieur. Il s’agit de vivre en harmonie avec les mécanismes internes de sa propre nature afin de devenir pleinement humain. Comme l’affirme le P. Boulad : C’est seulement par l’amour et la vérité que l’être humain peut avancer dans la liberté véritable, la liberté de l’Esprit. L’Esprit nous invite à vivre de la liberté du Christ.
Nous sommes appelés à une forme de paternité et de maternité à l’image de Dieu où les petits gestes peuvent faire toute la différence, dans notre vie comme celle des autres.