Être une preuve
Il s’agit surtout de faire la jonction avec ce que je suis et ce qu’implique cette vie nouvelle, promesse pour demain certes, mais aussi et surtout réalité pour aujourd’hui. Or il n’y a que nous qui puissions le faire.
Il s’agit surtout de faire la jonction avec ce que je suis et ce qu’implique cette vie nouvelle, promesse pour demain certes, mais aussi et surtout réalité pour aujourd’hui. Or il n’y a que nous qui puissions le faire.
Ce qui les fait courir c’est la résurrection du Christ. Et la course ne s’arrêtera pas, elle deviendra même contagieuse.
Une véritable conversion se fait lentement, sans précipitation. Il faut qu’à la fois, le cœur et l’intelligence comprennent. La foi qui est nôtre nous l’avons reçu en héritage. À travers une longue chaîne de témoins, elle s’est transmise de génération en génération jusqu’à nous.
Une communauté repose sur des liens affectifs et la sociologie nous apprend qu’elle se fonde surtout sur un sentiment d’appartenance.
Tout chrétien est missionnaire dans la mesure où il a rencontré l’amour de Dieu en Jésus Christ.
Un disciple c’est quelqu’un qui écoute et qui est avec. Le disciple est avec le Seigneur mais aussi avec ceux et celles qui vivent en intimité avec lui.
Saint Paul parle souvent du baptême dans ses lettres. Il en parle comme d’une plongée dans la mort et la résurrection du Christ. Tout de même pas banal…
La principale lettre de créance que nous pouvons présenter à nos contemporains pour témoigner du Dieu de Jésus-Christ, c’est la liberté qui nous vient du Christ et qui doit notamment être vécue à l’intérieur de l’Église.
Texte de Gilbert Assemat, diocèse d’Albi. Être disciple de Jésus, c’est vouloir, avec lui, convertir notre regard et notre cœur par passer …