Un grand Amour m’attend…
Ce qui se passera de l’autre côté, quand tout pour moi aura basculé dans l’éternité, je ne le sais pas. Je crois. Je crois seulement qu’un grand Amour m’attend. (Saint Jean de la Croix)
Ce qui se passera de l’autre côté, quand tout pour moi aura basculé dans l’éternité, je ne le sais pas. Je crois. Je crois seulement qu’un grand Amour m’attend. (Saint Jean de la Croix)
7e article d’une série de 8 sur les principales convictions et les étapes de la conversion selon l’itinéraire zundédien.
3e article d’une série de 8 sur les principales convictions et les étapes de la conversion selon l’itinéraire zundédien.
Le calendrier liturgique propose une étrange célébration pendant les festivités entourant la naissance de Jésus, celle du massacre des Saints Innocents. Occasion de porter son regard sur un drame toujours actuel.
Le mystère de la Nativité? C’est la révélation d’un Dieu humble, d’un Dieu fragile et d’un Dieu caché. Une naissance tellement effacée qu’elle pourrait passer inaperçue. Et pourquoi une telle naissance? Parce que la toute-puissance du Dieu révélée dans l’Évangile est une toute-puissance d’amour et de compassion.
L’être humain dispose d’une faculté de choisir. Il se distingue notamment du monde animal par une volonté qui est au service d’une liberté encore plus fondamentale, celle de la liberté intérieure, celle de la liberté d’être.
L’incarnation? Ce n’est pas Dieu qui descend du ciel sur une terre où il était absent, c’est plutôt une humanité qui devient présente à Dieu, un Dieu qui pour sa part est éternellement présent. Maurice Zundel le dira à maintes reprises : nous sommes appelés à devenir « transparence de Dieu ».
Pour l’apôtre Paul, foi et charité se donnent la main. L’apôtre nous rappelle que la vie chrétienne, bien que source de grande joie, n’est pas chose facile car tel n’est pas l’apprentissage d’une vie donnée.
Ô petit frère, divinement pauvre, apprends-moi à regarder toute chose avec la passion et la tendresse que Dieu met à la créer.