Le dynamisme de l’Esprit
Le chrétien a absolument besoin du dynamisme de l’Esprit du Ressuscité afin de vivre sa vocation à la liberté qui ne peut s’exercer valablement que dans et par l’amour.
Le chrétien a absolument besoin du dynamisme de l’Esprit du Ressuscité afin de vivre sa vocation à la liberté qui ne peut s’exercer valablement que dans et par l’amour.
Il est des temps et des lieux où il n’est pas toujours possible de se nourrir de l’eucharistie. L’occasion est belle alors de redécouvrir la Parole de Dieu, lue, proclamée, méditée, d’en faire sa nourriture et de se mettre à l’écoute de CELUI qui parle.
Dans la lettre aux Galates, Paul oppose la liberté évangélique aux différents esclavages du temps, et il va de soi que cet appel à la liberté de l’apôtre retentit jusqu’à nous aujourd’hui même. La liberté entre dans l’intention même du Salut. Elle est à la fois « don et choix ».
Le chrétien est donc libre parce qu’il agit sous l’impulsion d’un dynamisme intérieur qui n’est nul autre que l’Esprit même du Christ en lui. L’Esprit libère le croyant de toute crainte en face de Dieu à qui on peut maintenant donner en toute confiance le titre de Père.
Quel paradoxe de penser que certains chrétiens abandonnent aujourd’hui la religion chrétienne au nom de la liberté et de la libération, alors qu’au temps de Paul, on adhérait au christianisme pour atteindre à une plus grande libération!
L’œuvre de Dieu – croire en celui qu’il a envoyé – c’est permettre au Ressuscité de transfigurer son quotidien. C’est permettre à Celui qui est la Vie de tout envahir.
La prière a un sens vital, créateur et libérateur. Elle permet d’établir le règne du bien par l’union avec Dieu. Maurice Zundel n’hésite pas à voir en elle l’antidote suprême au mal dans le monde.
Avec un grain de créativité, il est possible d’amener des adolescents à parler de sujets qui les touchent, et ce, tout en éclairant leur questionnement à l’aide de récits bibliques.
Le folklore qui entoure la fête de Noël n’est pas sans charme. De même les célébrations liturgiques où l’on chante « l’heure solennelle » et « le divin enfant » tout en évoquant le son des « musettes qui résonnent ». Étrangement la fête de la naissance se termine de manière abrupte avec le récit du baptême de Jésus, trente ans plus tard. Si la magie n’est plus là, les questions demeurent.