Réflexion fondamentale
Le Corps vivant du Christ
L’Église, c’est d’abord et avant tout le Corps vivant du Christ, dans lequel souffle l’Esprit de celui qui en est la tête. (Guillaume Jedrzejcjak)
Noël ou la grâce d’un second baptême
Noël peut être pour chacun de nous la grâce d’un second baptême, d’une nouvelle naissance parce que nous vivons le mystère de la naissance de Dieu en nous. (Claude Geffré)
Le verbe s’est fait chair
Le Verbe nous fait sortir du silence. C’est ainsi que l’espérance faite chair nous permet d’oser une parole, donnant d’aller vers les autres. (Anne Fortin)
Ma propre existence comme un cadeau gratuit
La trace la plus claire de l’existence de Dieu, c’est ma propre existence lorsque je la perçois comme un cadeau gratuit. (Charles Delhez)
L’amour ne disparaît jamais
L’amour ne disparaît jamais. La mort n’est rien. Je suis seulement passé dans la pièce d’à côté. Je suis moi, vous êtes vous. Ce que nous étions les uns pour les autres nous le sommes toujours. (Saint Augustin)
L’Office de catéchèse du Québec en fête
L’Office de catéchèse du Québec (OCQ) célèbre cette année ses soixante ans. Pour souligner l’événement, un numéro de spécial de son bulletin « Passages » rappelle son histoire et tout particulièrement son souci constant de s’adapter à la réalité de l’Église du Québec toujours en évolution.
La vulnérabilité
Même si le mot est en vogue la réalité qu’il sous-tend ne l’est pas nécessairement. Une religieuse des Fraternités Monastiques de Jérusalem nous en offre une relecture. Si elle songe d’abord à la réalité communautaire qu’est la sienne, sa réflexion est pour tous.
Si tu savais le don de Dieu !
Un livre qui permet à toute personne de découvrir, de revisiter ou d’approfondir la foi chrétienne à la lumière de ses fondamentaux. Pour une meilleure compréhension du don inouï de Dieu qui vient à la rencontre de notre soif de bonheur et de Vie.
Tout attendre de la grâce de Dieu
Les cœurs de croyants peuvent tout attendre de la grâce de Dieu, car pour eux le Fils unique de Dieu, coéternel du Père, n’a pas jugé suffisant d’être un homme naissant des hommes, mais il est allé jusqu’à mourir par la main des hommes qu’il a créés. (Saint Augustin)