Paix aux hommes et aux femmes de bonne volonté
Dieu ne vient pas à nous dans le tonnerre et les éclairs. Il se dit dans le souffle léger de cet enfant qui attend que nous ouvrions nos yeux à sa présence. (Anne Fortin)
Rallumer les étoiles
Il y a ces victimes des luttes armées. Il y a ces inégalités qui engendrent et nourrissent violences et pauvretés.
Il y a ces tristesses cachées au fond du cœur.
Il y a notre Église dont l’horizon n’est pas très lumineux.
Et si tous ensemble on rallumait les étoiles, elles parlent si bien d’espérance.
Joyeux Noël !
Découvrir le sens de son existence
Seul de tous les vivants à nous connus, l’homme est pour lui-même un problème et, avec lui, l’univers où il s’enracine. Son existence charnelle est donnée. Elle s’impose à lui comme un fait irrévocable. (Maurice Zundel)
Devenir quelqu’un
L’important, pour l’homme, est de devenir soi en renonçant, selon l’expression de Flaubert écrivant à Baudelaire, à vouloir devenir ‘quelque chose’ et en cherchant à devenir ‘quelqu’un’… (Maurice Zundel)
Une dignité inviolable
Toute création authentique résulte, en effet, de ce vide que nous faisons en nous-mêmes pour être
capables d’accueillir et de communiquer la Présence infinie qui est le seul fondement de notre inviolabilité, la source unique de notre universalité. (Maurice Zundel)
Le surnaturel en soi
Ce malaise profond, si tu pouvais l’identifier comme la plus belle preuve de la présence du surnaturel en toi, comme la plus authentique parole de Dieu à l’enfant du Royaume que tu es? (Yves Girard, o.c.s.o.)
L’importance de notre consentement
C’est justement ce consentement proféré au plus intime de nous-mêmes, ce consentement d’amour, qui fera de l’Évangile une vie débordante. (Maurice Zundel)
Toute la grandeur de l’être humain
Le privilège inaliénable de l’homme,
toute sa grandeur et toute sa dignité,
c’est précisément qu’il ait à se faire. (Maurice Zundel)
Un même amour, un seul amour
Aimer Dieu, aimer son prochain, c’est le même amour, c’est un seul amour. L’un de ne va pas sans l’autre, l’un nourrit l’autre. (Yves Chamberland)