Le Saint-Esprit, une puissance à la manière de Dieu
La puissance du Saint-Esprit n’est pas incompatible avec la faiblesse de l’être humain, bien au contraire. (Bernard Bastian)
La puissance du Saint-Esprit n’est pas incompatible avec la faiblesse de l’être humain, bien au contraire. (Bernard Bastian)
« Je peux tout en celui qui me donne la force » (Ph 4,13) « Vous allez recevoir une force quand le Saint-Esprit viendra sur vous » (Ac 1,8a)
Ô divin Amour, ô lien sacré qui unissez le Père et le Fils, Esprit tout puissant, fidèle consolateur des affligés, pénétrez dans les abîmes profonds de mon cœur et faites-y briller votre éclatante lumière. (…) (Saint Augustin)
L’Église a toujours eu un caractère missionnaire, son histoire est missionnaire. C’est inscrit dans ses gènes.
1er article d’une série de 2 – Comment rendre la foi chrétienne intelligible et désirable pour nos contemporains? Une réflexion sur l’action catéchétique dans une culture déterminée.
Tout comme le Christ lui-même, le chrétien est appelé à exaucer les vœux de vie, de paix, de joie, d’initiative, de créativité et de don de soi qui montent du plus profond de son cœur, là où bat le Cœur de Dieu, par son Esprit.
L’Esprit est au fondement de la vie chrétienne : il confère désir et dynamisme aux disciples du Christ.
La liberté chrétienne est à la fois un don de Dieu et une oeuvre à réaliser. Parce que ce don est force et dynamisme, il fait appel à la créativité et à l’engagement du croyant.
On est habitué à parler de la prière des Psaumes. Il est vrai que les Psaumes contiennent de magnifiques prières, souvent axées sur des demandes faites à Dieu. Dans le Nouveau Testament, la prière aux multiples demandes s’estompe de plus en plus au profit de la louange et de l’action de grâce. Pour le chrétien/ne, c’est Jésus qui apparaît comme le modèle suprême de toute prière.