Le chemin, c’est Jésus
L’Évangile sera ta carte routière. Mais toi, tu sais déjà qui est le Chemin : c’est Jésus, la Sagesse éternelle. (Claire Dumont)
L’Évangile sera ta carte routière. Mais toi, tu sais déjà qui est le Chemin : c’est Jésus, la Sagesse éternelle. (Claire Dumont)
Dieu ne se passe et ne se communique que s’il est vécu, et cela n’importe où dans n’importe quel emploi, par le truchement d’une présence humaine authentique.
La grande préoccupation à porter devient alors la possibilité de permettre aux adultes d’entrer en rapport les uns avec les autres au sujet des questions de la foi. Il faut qu’un dialogue entre la foi et la vie devienne possible. Bref, il faut pouvoir parler de sa foi.
Si la situation nouvelle induit une nouvelle approche, une nouvelle manière de vivre l’évangélisation, elle demande une « nouvelle » communauté. Elle demande de faire communauté autrement.
Une véritable communauté est une communauté où les membres cheminent ensemble et s’évangélisent les uns les autres. C’est ce qui conduit à la célébration elle-même à redécouvrir comme espace d’évangélisation.
La principale lettre de créance que nous pouvons présenter à nos contemporains pour témoigner du Dieu de Jésus-Christ, c’est la liberté qui nous vient du Christ et qui doit notamment être vécue à l’intérieur de l’Église.
« Quel est l’homme qui va transformer l’homme? Quel est l’homme qui est capable d’ébranler nos profondeurs? Quel est l’homme qui nous émeut et qui nous conduira vers une véritable conversion? C’est toujours uniquement celui qui se convertit lui-même, celui qui est dans la vérité de la vie, celui qui se situe en face de Dieu, qui respire sa présence et qui communique son amour. » (Maurice Zundel, Ton visage ma lumière)
Plutôt qu’une course en solitaire, Paul avait à l’esprit l’image d’une course de relais : une équipe d’apôtres qui se soutiennent, s’encouragent et se sentent co-responsables de la mission évangélisatrice de l’Église.
Réhabiliter la grâce du baptême (et par le fait même la « confirmation du baptême »), c’est reconnaître le rôle de l’Esprit-Saint dans la liberté et la vocation de tout chrétien à la responsabilité apostolique, chacun selon son charisme personnel. Chaque chrétien participe au sacerdoce du Christ et est donc pleinement responsable de l’avènement du Royaume de Dieu.