Docteur Thérèse-de-l’Enfant-Jésus

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Source vive pour les catéchètes et vedette de « Secret d’histoire »

Secrets d’histoire – Thérèse, la petite sainte de Lisieux
TV France 3 – Présentation : Stéphane Bern
Vidéo disponible en bas de page

Au cœur de la mission catéchétique

Quand on pense à ce qu’est le cœur de la mission catéchétique, comment ne pas se laisser interpeller et inspirer par Thérèse de l’Enfant-Jésus en annonçant, comme elle, un Dieu de miséricorde, un Dieu qui aime.

Pour mieux la connaître, nous vous proposons de visionner ce numéro de Secret d’histoire réalisé par France 3 et consacré à la petite sainte de Lisieux.

Un destin hors du commun

Thérèse de LisieuxIl y a quelque chose d’étonnant dans ce destin hors du commun, dans l’histoire de cette jeune femme née en 1873 et morte à 24 ans en 1897.

Elle a vécu cachée dans un obscur monastère de Normandie ce qui ne l’a pas empêché de conquérir le monde avec ses 500 millions de lecteurs.

Elle est reconnue sainte et docteur de l’Église.

Quel fut donc son secret pour réussir pareil exploit? Belle question, tout ce qu’il fallait pour susciter l’intérêt de Stéphane Bern et de son équipe.

Elle a beaucoup écrit

Mais qu’a donc fait Thérèse Martin devenue Thérèse de l’Enfant-Jésus connue aussi sous le nom de Thérèse de Lisieux?

Rien aux yeux du monde si ce n’est de s’être faite religieuse au Carmel de Lisieux, d’avoir été emportée toute jeune par la tuberculose – c’était courant à l’époque – mais tout de même d’avoir beaucoup écrit.

Elle a laissé un récit autobiographique – L’histoire d’une âme – qui a fait sa renommée, des lettres, des poèmes, du théâtre, des prières, des notes de retraites. Leur dernière édition compte plus de mille pages.

Elle s’est aussi confiée à ses compagnes. Ses réflexions, ses paroles et particulièrement les dernières ont été recueillies, car on soupçonnait là un trésor.

Un son nouveau

Il y avait là un son nouveau. Tant pour ses sœurs que pour le monde, Thérèse de l’Enfant-Jésus témoignait d’une religion à portée de main, vivable, ce dont la fin du XIXe siècle avait grand besoin.

Elle avait compris que sa vie, que toute vie n’a de sens que lue à la lumière de l’amour.

Comme le mentionne Stéphane Bern, alors que la sainteté était une affaire d’héroïsme et d’une sévère comptabilité tenue par un Dieu justicier, Thérèse propose une voie toute droite faite de gestes d’amour tout simples.

Une approche humaine

Elle aura ainsi fécondé et rajeuni la théologie inspirant des gens de lettres comme Georges Bernanos et Jean Guitton, de grandes figures comme celle d’Édith Stein.

Avec à la fois une fraîcheur, un humour et une profondeur étonnante, elle propose une approche profondément humaine du mystère chrétien.

Elle s’était donné une mission : Chanter ce que je dois redire éternellement, les miséricordes du Seigneur. Et c’est ainsi qu’elle devint docteur de l’Église au nez et à la barbe des savants théologiens.

Bon visionnement !

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